
A Pointe-Noire, comme à Brazzaville, les robinets asséchés sont devenus des monuments de décoration. Les plus âgés des congolais sont résignés : le dictateur les a eus à l'usure. Les plus jeunes, nés avec les pénuries, croient qu’il s’agit là de la norme. D’où leur surprise quand un compatriote de la diaspora ou un touriste qui arrive à Brazzaville s’en offusque.