
A la grande surprise du clan au pouvoir et de ses zélés serviteurs, les Congolais ne se sont pas laissé impressionner par les chiens de garde de sa police et de sa soldatesque. Partout dans le pays, le chant de la révolte gronde. A l’unisson, les Congolais crient leur colère et demandent au satrape de dégager. Le Congo, qu’il a allègrement pillé durant 32 ans, n’est pas sa propriété.