
Le président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun s’est rendu le jeudi 22 décembre à la présidence comme tout citoyen, pour déposer un contre décharge, « un courrier portant sur un sujet sensible d'intérêt national », précise le parti, qui dément formellement la thèse selon laquelle il a été rabroué à l’entrée du palais.