
En 1962, les vrais combattants de la libération ont été démobilisés et les opportunistes, les néo-harkis ont infiltré tout l’appareil de l’Etat depuis la base, où ils ont promu leurs cousins la veille encore bergers incultes dans la montagne au rang de chaouchs tout puissants dans les ministères, et jusqu’au sommet de la haute administration.