
C’est se leurrer que de continuer de croire qu’un petit bonus d’entrée ou une taxe superficiaire qui varie en fonction des zones et des périodes de recherche à moins de 40 à 160 dollars le km² et encore moins la taxe sur les revenus pétroliers qui permet à l’investisseur de souffler comme il veut pour gonfler ses dépenses et diminuer ainsi la base de son calcul, décourageraient les capitaux dans le domaine de l’amont pétrolier pour au moins deux raisons.